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Elections municipales de Besançon - 2020

Claire Arnoux

Végétaliser les repas CCAS, scolaires et administratifs :
Mettre en place une alternative végétarienne quotidienne 
Oui
Non
 
Mettre en place une alternative végétarienne quotidienne 
 
Oui
Non
Précisez ici vos réponses et développez vos propositions *

La végétalisation des repas prend son sens autour de 3 axes défendus par Besançon Verte et Solidaire :

– Nous recherchons la réduction d’impact visant les effets néfastes pour la planète liés à la surconsommation de viande.
– Nous sommes dans une logique du mieux-manger pour nos enfants et pour tous nos concitoyen.nes bisontin.es.
– Nous avons l’ambition de devenir la ville modèle concernant la transition écologique qui passe obligatoirement par le contenu de nos assiettes mais aussi par une grande prise de conscience du bien-être animal.

1. Une de nos mesures-phares est la mise en place de cantine 100 % bio et locales avec une alternative végétarienne quotidienne à tous les repas, en commençant par les cantines scolaires et qui sera étendue à tous les restaurants accueillant du public géré par la ville.

2. La deuxième étape sera d’aller plus loin. Pour cela, il sera nécessaire de réaliser un travail d’information et de communication pour sensibiliser et expliquer cette transition aux différents publiques bisontin.es pour les accompagner vers une alimentation plus écologique et plus respectueuse de la vie animale. Les écoles en particulier, seront le centre d’impulsion de la transition écologique, incluant un développement sur le respect de la vie animale.

Captivité animale
Maintenir l’engagement de la ville de Besançon, y compris sur le site de Micropolis, à refuser les cirques avec animaux sauvages,
Oui
Non
 

Proposer un plan d’action pour une sortie la plus rapide possible des animaux sauvages du zoo de la citadelle et leur transfert vers des refuges et sanctuaires.

Oui
Non
Précisez ici vos réponses et développez vos propositions
Nous nous sommes positionnés très clairement en faveur de la fermeture du zoo de la Citadelle, qui ne permet pas d’assurer le bien être des animaux sauvages et exotiques. Les animaux sauvages présents à la citadelle de Besançon sont détenus dans des conditions ne respectant pas pour leur majorité leur besoins vitaux . Il sera donc nécessaire d’établir une
véritable transition du zoo en déplaçant les animaux sauvages vers des sanctuaires. Il est impératif de recadrer l’attractivité de la Citadelle sur le bâtiment lui même, véritable chef d’œuvre classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il nous faudra engager une grande réflexion autour de la ferme pédagogique.
Animaux errants
Débloquer un budget pour la stérilisation des chats errants, en convention et partenariat avec les associations compétentes sur ce sujet.
Oui
Non
 
Précisez ici vos réponses et développez vos propositions
Il sera questions de travailler avec les associations pour débloquer un budget afin
de mener plusieurs campagnes de stérilisation et si possible d’identification afin de luter contre la précarité de ses chats errants et limiter drastiquement leur nombre à long terme. Des campagnes de lutte contre l’abandon des chiens et chats sera nécessaire pour étayer cet effort.
Animaux sauvages et liminaires
Instaurer le dimanche sans chasse sur le territoire communal
Oui
Non
 
Utiliser des solutions non létales pour limiter la prolifération des animaux liminaires (actions de prévention, régulation par des méthodes alternatives : répulsifs, contraceptifs…) et pour « reconduire » les animaux visiteurs, sangliers, renards… *
Oui
Non
Précisez ici vos réponses et développez vos propositions
Nous sommes et nous serons de plus en plus amenés à coexister avec la faune sauvage, qui s’introduit au cœur de la cité en raison des bouleversements liés à l’urbanisation. Il faut dès maintenant réfléchir à organiser cette cohabitation. A Besançon, nous avons par exemple le ragondin Bouloute (abattu en 2017) et plus récemment le sort des sangliers du Square Castan (voués à l’euthanasie), dont on a scellé le sort sans concertation citoyenne, en les qualifiant simplement de nuisibles. Or, nous croyons en une ville respectueuse de la vie animale, et à ce titre, chaque espèce doit être traité avec le respect et la bienveillance qui lui est due. L’euthanasie des animaux sauvages égarés ne serait être pour nous une solution. Encore une fois il sera nécessaire de trouver des solutions pour que ces animaux regagnent la forêt sans encombre .
Autres propositions libres visant à réduire la souffrance des animaux

Nous devrons réfléchir à la question des soins à apporter aux animaux appartenant aux personnes sans ressources ou en grande précarité. ces animaux véritables compagnons de route de ces populations doivent être pris en compte dans la problématique globale du bien vivre ensemble. La remise en cause de nos modèles de consommation nécessite un changement de mentalités. Aussi nous organiserons des opérations de communication et table-ronde de sensibilisation à la coexistence en bonne intelligence avec la faune et la flore.